Afin de vous accompagner dans la gestion de vos enjeux liés à la gestion de vos ressources humaines en contexte de pandémie de COVID-19, notre groupe de droit du travail et de l’emploi assure un suivi quotidien des plus récents développements.Le présent bulletin aborde les sujets de laréouverture des entreprises offrant des soins de santé privés, et des soins corporels et esthétiques ainsi que la reprise des activités dans le milieu culturel.
RÉOUVERTURE DES ENTREPRISES OFFRANT DES SOINS DE SANTÉ PRIVÉS, ET DES SOINS CORPORELS ET ESTHÉTIQUES
Le 19 mai dernier, le gouvernement du Québec annonçait un autre pan de son processus de reprise graduelle des activités économiques: la réouverture des entreprises offrant des soins de santé privés, et des soins corporels et esthétiques. Voici donc quelques informations importantes.
Soins de santé privés
Ainsi, le 1er juin,partout au Québec, les entreprises suivantes pourront ouvrir :
- Les centres de soins bucco-dentaires;
- Les centres de soins thérapeutiques (physiothérapie, travail social, psychothérapie, médecines douces ou alternatives, etc.); et
- Les centres de soins de toilettage pour animaux.
Soins corporels et esthétiques
Le 1er juin, les entreprises suivantes pourront ouvrir, si elles sont situéesà l’extérieur de la région de la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) et de la MRC de Joliette :
- Les salons de coiffure;
- Les barbiers;
- Les centres d’esthétique;
- Les centres de manucure, pédicure, etc.;
- Les centres de tatouage;
- Etc.
Considérant la situation sanitaire prévalant dans la CMM et la MRC de Joliette, les entreprises de ces territoires offrant des services de soins corporels et esthétiques devront attendre le feu vert du gouvernement avant de rouvrir leurs portes à la clientèle.
Pour une liste des services visés par ces annonces: https://www.quebec.ca/sante/problemes-de-sante/a-z/coronavirus-2019/reprise-graduelle-activites-mesures-ralentissement-covid19/#c57355
Le gouvernement indique que «les clients d’un commerce autre qu’un commerce de détail et qui est autorisé à ouvrir pourront passer par les aires communes d’un édifice ou d’un bâtiment pour se rendre à ce commerce, pourvu que cet édifice ou ce bâtiment ne soit ni un hôpital, ni un CHSLD, ni une résidence pour personnes âgées».